
La flambée des prix de l’énergie a entrainé en Jordanie un grand nombre de manifestations. Ces manifestations s’inscrivent dans la même logique que celles des révolutions arabes...Désormais, c’est le départ du roi qui est demandé ainsi que la chute du gouvernement.

Les yéménites élisent aujourd'hui le successeur de Ali Abdallah Saleh, à l'issu d'un an de révolution et de violence.
Ali Abdallah Saleh a gouverné le pays pendant trois décennies.

Pas très tôt. Mais vaut mieux tard que jamais. Les deux adversaires Jean-François Copé et François Fillon en opposition depuis un mois se sont enfin mis d’accord. Cet accord de sortie de crise consistera en la tenue « d’une élection en septembre 2013 ».

Le Premier ministre du gouvernement de Bachar al-Assad, Riad Hijab, a annoncé lundi 6 août avoir fait défection pour rejoindre les rangs de l'opposition.

Bachar Al Assad...refuse de capituler malgré, les différents appels des autres États arabes notamment la Turquie à quitter le pouvoir. Et l’intervention britannique en faveur d’une sortie sans effusion de sang ne semble pas toucher la sensibilité du dirigeant

Les sanctions européennes e Juillet contre le pays semble ne pas avoir ralenties les travailleurs des chercheurs iraniens. En effet, un rapport de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AIEA) montre que l’Iran avance et même très bien dans sa quête de l’énergie atomique. La volonté du président Mahmoud Ahmadinejad n’a de quelque façon que ce soit été émoustillé. Il garde la course.

Abdou Hussameddine, le vice-ministre du Pétrole a annoncé dans la nuit de mercredi à jeudi sa démission de son poste et a déclarer vouloir rejoindre l'opposition. C'est le premier membre du gouvernement à faire défection depuis le début des manifestations il y a près d'un an. Il a appelé les autres membres du gouvernement à abandonner "un bateau qui coule".
"Je salue le vice-ministre qui a fait défection et j'appelle tous les membres du gouvernement et les fonctionnaires (...) à abandonner ce régime et rejoindre les rangs de la révolution pour la liberté et la dignité", a déclaré le chef du Conseil national syrien (CNS) Burhan Ghalioun.

Un des derniers cadres de la résistance, Raymond Aubrac, est décédé mardi soir à l’hôpital militaire du Val-de-Grâce, a déclaré sa fille ce matin de mercredi.

La Ligue arabe va renvoyer sa mission controversée d'observateurs en Syrie où l'armée a bombardé sans relâche mercredi la ville rebelle de Homs faisant 50 morts selon les militants, en dépit de l'engagement du président Assad.
Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a annoncé mercredi que le chef de la Ligue arabe Nabil Al-Arabi lui avait fait part mardi de son intention par téléphone, lui demandant une coopération de l'ONU à cette nouvelle mission.

L'institut de radiophysique du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV) à Lausanne a indiqué vendredi qu'il comptait dépêcher des experts à Ramallah, le siège de l'Autorité palestinienne, pour faire des prélèvements sur les restes du corps du leader palestinien Yaser Aarafat, à la recherche d'éventuelles traces de polonium. La veuve de Yaser Aarafat a sollicité la collaboration de la justice française dans l'enquête sur la thèse d'une mort par empoisonnement.

Le chef de la diplomatie Alain Juppé a invité plusieurs homologues des amis du peuple syrien à la réunion ministérielle pour faire le point sur la situation et adresser à Damas un message de fermeté ainsi qu'un message de soutien à Kofi Annan.

Au temps où les bombardements se poursuivent à Alep, le sommet islamique de la Mecque, en Arabie saoudite, a prononcé à la fin de ses travaux tôt jeudi 16 août, la suspension de la Syrie de l'Organisation de coopération islamique (OCI). Cette décision reflète un "message fort adressé par le monde musulman au régime syrien". "Ce monde ne peut plus accepter un régime qui massacre son peuple en utilisant avions, chars et artillerie lourde".

En Syrie, les violences se poursuivent malgré la déclaration votée au Conseil de Sécurité de l'ONU pour arrêter la répression et l'adoption du plan Annan par le gouvernement.

A quelques mois des élections présidentielles, le Sénat passe à gauche. C'est bien la première fois que ce phénomène se produit sous la Ve République.

Le général norvégien Robert Mood, à la tête de la mission des observateurs de l'ONU est arrivé en Syrie et a appelé toutes les parties à arrêter les violences qui ont fait dimanche plus de 29 morts. "Les observateurs ne peuvent pas résoudre seuls tous les problèmes, (...) toutes les parties doivent arrêter les violences et donner une chance" au plan de paix proposé par l'émissaire de l'ONU Kofi Annan.

Faut-il loger les sénateurs dans les plus beaux quartiers de Paris? Faut-il vraiment fournir des domestiques à certains d'entre eux?
Le train de vie des sénateurs fait polémique.

Au Yemen, les élections présidentielles du 21 février se sont déroulées sans incidents. Les yéménites ont pu tourner la page du président contesté Ali Abdallah Saleh qui a accepté de quitter le pouvoir en contre partie d'une immunité pour lui et pour les siens.

Mardi, les rebelles libyens ont fait tombé le 'QG' du colonel Kadhafi.
Le quartier général envahit, les rebelles se réjouissent.
'La transition commence immédiatement', a annoncé Mahmoud Jibril qui dirige l'exécutif de la rébellion.

La répression en Syrie devient de plus en plus violente que le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon la qualifie « d'intolérable et d'inacceptable ». En effet, le Conseil de sécurité doit se pencher mardi sur un projet de déclaration soutenant les efforts de l'émissaire spécial de l'ONU et de la Ligue arabe, Kofi Annan, pour mettre fin aux violences.

Après sa victoire au Sénat, la gauche demande au nom de la "dignité", le départ du président sortant, Gérard Larcher.
Le parti sous-entend même que si la droite l'emporte, il s'agirait là d'un véritable "hold-up" et parle même de "débauches" éventuelles de sénateurs et sénatrices de gauche pour les faire voter à droite.

A l'issu du Conseil Européen à Bruxelles, Nicolas Sarkozy a annoncé que l'ambassade français en Syrie va fermer dans un geste de renonciation au scandale de la répression conduite par les forces du régime de Bachar Al-Assad.
"Avec Alain Juppé(le ministre des Affaires étrangères), nous avons pris la décision de fermer notre ambassade", a dit le président français.