
La troisième nuit de violences à la Réunion faisant au total neuf blessés parmi les forces de l'ordre et 76 personnes interpellées.

L'armée syrienne a repris ses bombardements sur les quartiers rebelles de Homs, dans le centre de la Syrie. Le secrétaire général des Nations-Unies, Ban Ki-moon veut élargir la mission des observateurs ...

Le président syrien, Bachar al-Assad, a affirmé mercredi au secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon que les opérations militaires contre les opposants avaient "cessé". Mais sur le terrain, les victimes, encore nombreuses, attestent du contraire.

Lors d'une interview au Journal du Dimanche, l'avocat Robert Bourgi met en cause l'ancien président de la République Jacques Chirac ainsi que son ancien Premier Ministre Dominique de Villepin dans une affaire de financements occultes en provenance d'Afrique.
L'avocat confie avoir "participé à plusieurs remises de mallettes en provenance de chefs d’État africains".

"L'approvisionnement continu en armes au gouvernement syrien et à ses opposants nourrit le cycle de violences", a déclaré Navi Pillay devant le Conseil de sécurité. "Il faut éviter à tout prix toute militarisation supplémentaire du conflit."
La violence en Syrie ne cesse de se développer. Bachar Al-Assad et les insurgés reçoivent toujours plus d'armes. La répression se poursuit. Le bilan de 16 mois de contestation et de répression s'élève à plus de 10.000 morts, selon l'Onu.

Placée sous le commandement du frère du président syrien Bachar Al-Assad une unité blindée d'élite a été envoyée à Homs dont les chars ont des sigles "Monstres de la Quatrième division" peints sur leur blindage.

En dépit de l’arrivée des premiers observateurs de l’ONU, le bombardement de plusieurs villes syriennes est soutenu par le gouvernement, le cessez-le-feu prévu dans le plan de l'émissaire international Kofi Annan entré en vigueur le 12 avril n’est pas respecté.

Ce matin Un avion militaire avec à son bord 10 personnes pris les aires pour un entrainement...L’avion militaire s’est crashé sur un terrain vaste dans le nord du Sanaa. Aucun survivant.

Bachar al-Assad refuse d'appliquer le plan de paix signé avec l'émissaire de l'ONU et de la Ligue arabe Kofi Annan, tant qu'il n'a pas encore fourni de garanties écrites concernant l'arrêt des violences des insurgés.

Un convoi d'observateurs de l'ONU a été visé mardi, selon l'opposition syrienne, par une attaque du régime dans le nord de la Syrie dans la province d'Idleb. 20 personnes ont été abattues par les forces du régime alors qu'elles participaient aux funérailles d'un homme tué la veille. "Le régime syrien a commis un massacre mardi durant une visite des observateurs de l'ONU à Khan Cheikhoun", a indiqué un porte-parole de l'OSDH, demandant d'ouvrir une enquête d'"urgence".

Paris : Les Palestiniens obtiennent une recommandation de l’UNESCO pour une adhésion en tant qu’Etat.

Les violences se poursuivent en Syrie en dépit de la mobilisation de plus de 250 observateurs de l'ONU censés faire respecter le cessez-le-feu. Le porte-parole de l'émissaire des Nations Unies, Kofi Annan, a annoncé que ce dernier pourrait bientôt se rendre en Syrie où son plan de paix ne cesse d'être violé. L'Otan, de son côté, n'a pas l'intention d'intervenir en Syrie, a affirmé son secrétaire général.

La Tunisie va adapter le modèle de dialogue social de la ville de Suresnes à son propre secteur public.

Le Conseil national syrien, principale force de l'opposition, a appelé jeudi 7 juin à une intensification des attaques militaires contre le président Bachar Al-Assad, après un nouveau massacre, d'au moins soixante-dix-huit personnes, près de Hama. Au lendemain du massacre Les observateurs de l'ONU "sont stoppés à des barrages de l'armée syrienne et contraints dans certains cas à faire demi-tour", a indiqué le chef de la mission, le général norvégien Robert Mood. Paris fixe au 6 juillet la prochaine réunion du groupe des Amis de la Syrie après l'annonce récente de son organisation début juillet par le président François Hollande.

Embarquement dans cet avion que les rebelles libyens présentent comme celui de Kadhafi.
Ces combattants découvrent une salle de bain, une chambre, ainsi qu'un espace de travail.
Tout semble miraculeusement intact.

Lors d'une conférence de presse à Benghazi, le président français Nicolas Sarkozy ainsi que le Premier Ministre britannique se sont exprimés face au peuple libyens afin de les soutenir face à cette révolution.
D'un côté, Nicolas Sarkozy a appelé à une "réconciliation entre les Libyens", et de l'autre, David Cameron a promis d'aider à la traque du colonel Mouammar Kadhafi.