
Lors de la 19e Conférence des ambassadeurs ce mercredi à Paris, le monde arabe était au coeur du débat.
Le président de la République Nicolas Sarkozy a mis en garde la Syrie ainsi que l'Iran, et a appelé les 27 pays de l'Union européenne à parler d'une seule voix sur le processus de paix au Moyen-Orient.

La Turquie a réclamé dimanche une réunion de l'Otan au sujet de son avion militaire abattu vendredi par la Syrie.

Le Conseil national syrien, principale force de l'opposition, a appelé jeudi 7 juin à une intensification des attaques militaires contre le président Bachar Al-Assad, après un nouveau massacre, d'au moins soixante-dix-huit personnes, près de Hama. Au lendemain du massacre Les observateurs de l'ONU "sont stoppés à des barrages de l'armée syrienne et contraints dans certains cas à faire demi-tour", a indiqué le chef de la mission, le général norvégien Robert Mood. Paris fixe au 6 juillet la prochaine réunion du groupe des Amis de la Syrie après l'annonce récente de son organisation début juillet par le président François Hollande.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a réussi la nuit dernière à convaincre Shaul Mofaz, le chef du parti de l'opposition Kadima, de former une coalition gouvernementale, alors que tout le monde s'attendait à une dissolution du Parlement et à des élections anticipées.

Les observateurs de l'ONU se sont rendus vendredi sur les lieux du massacre d'Al-Koubeir, un hameau de la province de Hama en Syrie. Ils ont senti une "forte odeur de chair brûlée" et vu des traces de sang, selon le porte-parole de l'ONU Martin Nesirky. Mercredi, 55 personnes dont des femmes et des enfants ont été tuées à Al-Koubeir. Les autorités de Damas ont démenti qu'un tel massacre ait eu lieu. Le patron de l'ONU, Ban Ki-moon, a estimé que le président Bachar Al-Assad avait "perdu toute légitimité".

La répression en Syrie se poursuit. Le plan d'Annan qui avait été accepté par Bachar Al-Assad le 2 Avril, ne sera pas exécuté qu'en contre partie de garanties, a annoncé le régime syrien.

Voisin de la Syrie, les libanais ont depuis le début de la crise pris part au combat. Que ce soit au coté de Bachar au de l’opposition. De manière officielle le Liban n’est pas impliqué. L’ampleur de son implication aujourd’hui dans la crise syrienne ne lui permet plus de continuer son jeu de cache-cache.

Fini le concubinage notoire et les relations en cachette. Les amoureux du même s3xe peuvent désormais en France sceller leur amour de manière officielle et permanente ; jusqu’à ce que la mort les séparent ; la loi le permet

L’Allemagne serait prête à répondre à l’appel de la Turquie dans le cadre du lancement de missiles vers la Syrie dans l’éventualité d’un accord de l’OTAN.

Le rapport de l'ONU concernant la flottille internationale ayant essayé de forcer le blocus de Gaza, a remis les tensions entre la Turquie et Israël en question.

Le chef de la diplomatie Alain Juppé a invité plusieurs homologues des amis du peuple syrien à la réunion ministérielle pour faire le point sur la situation et adresser à Damas un message de fermeté ainsi qu'un message de soutien à Kofi Annan.

L'armée yéménite a lancé un raid depuis quatre jours contre les membres d'Al Qaïda. Douze civils ont été tués par erreur à Jaar, deux membres d’Al-Qaïda, deux soldats et deux supplétifs de l’armée sont également morts dans la ville de Loder.

Le vice-ministre chinois des Affaires étrangères Zhai Jun, en visite à Damas, a appelé samedi toutes les parties en Syrie à "cesser immédiatement les violences".
L'émissaire chinois a souhaité que les prochaines élections en Syrie ainsi que le référendum sur la nouvelle Constitution "se déroulent sans obstacle"

Le chef des observateurs de l'OSCE, Tonino Picula, a estimé hier qu'il y avait des « problèmes sérieux » avec l'élection présidentielle russe de dimanche. Le site Internet control2012.ru mis en place pour comptabiliser la quantité de fraudes, relevait hier près de 6 000 cas de violation de la législation électorale.

Zoom sur le parcours de l'avocat marseillais Gilbert Collard, nouveau président du comité de soutien de Marine Le Pen.
Comment en est-il arrivé là ? Un itinéraire surprenant qui démarre à gauche.

Le vice-Premier ministre syrien Qadri Jamil a annoncé mardi 21 août à Moscou pour la première fois que le régime était prêt à discuter d'un départ du président Bachar al-Assad dans le cadre de négociations avec l'opposition. "Pendant le processus de négociations, on peut étudier toutes les questions et nous sommes prêts à étudier même cette question", a-t-il dit.

En dépit de l’arrivée des premiers observateurs de l’ONU, le bombardement de plusieurs villes syriennes est soutenu par le gouvernement, le cessez-le-feu prévu dans le plan de l'émissaire international Kofi Annan entré en vigueur le 12 avril n’est pas respecté.

Suite au débat des primaires socialistes retransmis à la télévision hier soir, les membres de la majorité s'expriment.
Benoist Apparru, secrétaire d’État chargé du logement, avoue avoir ressenti une "très grande faiblesse sur les contenus".

Les hostilités continuent. Des chars, des tirs d’armes lourdes, les hélicoptères dans le ciel. Vraisemblablement, le cessez le feu annoncé il y a quelques jour n’a pas encore été conclu.

Compte tenu de l'instabilité de la situation sécuritaire qui règne actuellement dans le pays et notamment à Bamako, le quai d'Orsay conseille aux ressortissants français de quitter provisoirement le pays.
La mise en garde du gouvernement intervient alors que les rebelles touaregs et des groupes armés islamistes progressent vers le sud du pays après avoir pris le contrôle de sa partie nord. Quant à Bamako, la capitale située dans le sud du pays, la situation y est pour le moins incertaine depuis le putsch qui a débarqué le pouvoir en place il y a deux semaines.

Après la France, c’est le tour de la Turquie. En effet, le ministre des affaires étrangères Ahmet Davutoglu, a affirmé lors d’un discours que la Turquie reconnait la coalition comme seule représente légitime de la Syrie.